Maintenant, il faut souligner comment l'auteur nous prépare pour la fin d'Un Sac de Billes.
À travers de la fin d'Un Sac de Billes (c'est-à-dire les trois dernières chapitres), Joseph a subi de plusieurs obstacles. Il s'est fait appréhendé dans Hotel Exclesoir. Son père s'est fait tué par les Nazies. Il en outre s'est fait interpellé par les soldats. Le lecteur développe un sens de doute, peut-être qu'un doute qu'il sera tué par les pogromes dans la même manière que son pere. La fin heureuse fait le livre d'être celui d'un conte de fées, en donnant le lecteur la soulagement pour la façon dont Joseph survivait ces années. Quant à moi, je savais que cette fin serait celle d'heureuse vu que par les aventures dans son livre, Joseph a acquit telle connaissance et telle débrouillardise afin qu'il puisse gérer d'entreprendre toutes les obstacles possibles.
En revanche, bien qu'il y ait un élément de plaisir pour le lecteur, la fin également le donne un sentiment de triste. Quoique Joseph gérait de survivre, le lecteur sait qu'il ne sera jamais la même Joseph qu'avant la guerre. Il ne peut plus jouer aux billes. Il ne peut plus pleurer. Il ne peut plus dépeindre son enfance malgré qu'il soit encore un enfant. Il a perdu un élément important de sa vie jeune. Joseph se regarde dans le miroir, en disant (c'est vrai, j'ai grandi). Il a grandi aussi dans touts aspects de la vie. Joseph Joffo nous prépare pour cette fin dans ces deux aspects contraires - en nous rendant se sentir heureux et triste à la même temps.